Cela signifie que les écoles, les dispensaires et les organisations caritatives liées à la Confrérie voient leurs activités gelées en attendant d’être soumise à une commission gouvernementale ad hoc.
Les enquêteurs ont envoyé au président Kim Jong Eun une lettre lui signifiant qu’il pourrait faire face à la justice international. Ils recommandent à l’ONU de saisir la Cour pénal internationale, ou de mettre en place un tribunal ad hoc.